Riccardo Garrone (Rick Garrett(1926-2016)
Connu pour ses rôles dans LA DOUCEUR DE VIVRE, LA FILLE A LA VALISE et dans de nombreuses comédies (une de ses premières était IL BIDONE), il incarna aussi Hamilcar dans SALAMMBO en 1960 et Lampourde dans LE CAPITAINE FRACASSE (1961). Riccardo Garrone joua dans plusieurs westerns européens parfois sous les pseudos de Rick Garrett, Richard Garrett ou encore Dick Regan…
On le vit également dans un giallo, La mort sonne toujours deux fois, en 1969.
1965 : I due sergenti del generale Custer
1966 : Deguejo
1967 : Bang Bang Kid
1968 : Tire si tu veux vivre
1969 : La corde au cou
1969 : El Zorro justiciero
1970 : Un homme nommé Sledge
1972 : Alléluia défie l’Ouest ; Tedeum ; Mais qu’est-ce que je viens foutre au milieu de cette révolution ?
1974 : Di Tresette ce n’è nuno, tutti gli altri son nessuno
Bang Bang Kid (Bang, Bang) (The bang-bang kid)
Italo-espagnol de Luciano Lelli (1967)
Un inventeur excentrique itinérant vient avec son robot dans une ville de l’Ouest pour la nettoyer de sa vermine…
Avec Guy Madison, Tom Bosley, Riccardo Garrone, Sandra Milo, José Maria Caffarel, Dyanik Zurakowska, Ennio Antonelli, Federico Boido.
Western original mais au scénario confus produit par Sidney W. Pink, réalisateur américain de séries B de SF dans les années 50-60. L’intrigue fait vaguement penser à celle de Mondwest… avec son robot gunfighter. Guy Madison joue un ‘Lord’ tyrannique, la paire d’as de charme du film est formé de l’Italienne Sandra Milo et de Dyanik Zurakowska. Un des premiers westerns de Riccardo Garrone, décédé en mars 2016.
Tedeum (1972) Italo-espagnol de Enzo G. Castellari
Avec Jack Palance, Giancarlo Prete, Lionel Stander, Eduardo Fajardo, Mabel Karin, Riccardo Garrone, Franco Borelli, Bruno Boschetti, Carla Mancini
Sortie USA : 1974
Comédie western italo-espagnole, où Giancarlo Prete imite Giuliano Gemma et un désopilant Jack Palance qui joue un faux moine, dans le même genre, on préfère le tandem Terence Hill-Bud Spencer, qui cartonne à la même époque dans les films d’Enzo Barboni