Django, le taciturne (Django le taciturne) (Bill il taciturno) (Django kills softly)
Franco-italien de Massimo Pupillo (1967)
Django affronte le bandit El Santo…
Avec George Eastman, Luciano Rossi, Liania Orfei, Mimmo Maggio, Spartaco Conversi, Federico Boido, Remo Capitani…
Poker d’as pour Django (Le due face del dollaro) (Two faces of the dollar)
Italo-français de Roberto B. Montero (1967)
Des bandits s’emparent de l’or des mines de l’Arizona et s’affrontent ensuite pour le posséder…
Avec Maurice Poli, Jacques Herlin, Gérard Herter, Andrea Scotti, Spartaco Conversi, Andrea Bosic, Gabriella Giorgelli, Tom Felleghy, Giovanni Ivan Scratuglia…
Le classique travail à la chaîne des réalisateurs de westerns européens de série Z dans les années 60 : une recette mille fois copiée –rivalités autour d’un butin-, Montero n’a rien d’un Sergio Leone ou d’un Damiano Damiani, la distribution est d’une pauvreté totale, on n’est pas au Far West mais au pays des navets-spaghetti !
Le dernier tueur (L’ultimo killer) (Django the last killer)
Italien de Giuseppe Vari (1967)
Avec George Eastman, Dragomir ‘Gidra’ Bojanic, Dana Ghia, Daniele Vargas, Mirko Ellis, Gianni Medici, Giuseppe Addobbati…
La meilleure contribution au genre de Giuseppe Vari, avec George Eastman… un des meilleurs interprètes du western-spaghetti.
Tire encore si tu peux (Se sei vivo spara) (Django kill… If you live, shoot !) (Oro hondo, Oro maldito)
Italo-espagnol de Giulio Questi (1967)
Une bande de bandits mexicains et d’Américains volent une cargaison d’or. Les Américains refusent de partager l’or et exécutent les Mexicains. Seul un métis, Django (Tomas Milian) survit, il va se venger.…
Et avec Piero Lulli, Marilu Tolo, Milo Quesada, Angel Silva, Sancho Gracia, Mirella Pamphili, Roberto Carmadiel, Frank Brana, Antonio Pica, Ray Lovelock…
Avec le scénariste Franco Arcalli, Giulio Questi a signé quelques bons western-spaghetti -souvent très violents, comme celui-ci- qui, à défaut de révolutionner le genre, sont originaux et créent des atmosphères singulières. Un bon scénario, avec des flash-backs, et des scènes qui lorgnent vers le film d’horreur.
Le film fut interdit dans certaines salles et censuré à cause de sa violence.
Premier film de Ray Lovelock, qui joue ici avec son copain Tomas Milian, tous deux jouaient dans un groupe de rock en Italie avant de faire du cinéma.