browser icon
You are using an insecure version of your web browser. Please update your browser!
Using an outdated browser makes your computer unsafe. For a safer, faster, more enjoyable user experience, please update your browser today or try a newer browser.

Harry Dean Stanton/Apache Massacre/Le jour des Apaches/Alien-Le 8ème passager

Posted by on 15 octobre 2017

Harry Dean Stanton (1926/2017)

Il a tourné dans environ 200 films et séries télévisées, le grand rôle de sa vie est sans doute celui de Travis Henderson, le fantôme surgi du désert, dans PARIS, TEXAS de Wim Wenders (1984). Stanton sert comme cuisinier dans la Marine durant la Seconde guerre mondiale (son bateau participa à la bataille d’Okinawa) et décroche ses premiers rôles en 54, on le voit à cette époque dans plusieurs westerns dont Le fier rebelle, c’est le détenu mélomane de LUKE LA MAIN FROIDE avec Paul Newman en 67. Il faudra attendre les années 1970 pour qu’il décroche des têtes d’affiche dans des oeuvres plus ambitieuses

Le comédien retournera ensuite aux personnages de second plan dans des registres très différents, affichant un certain éclectisme, comme ALIEN (1979), SAILOR ET LULA ou LAS VEGAS PARANO, et plus récemment 9 FULL MOONS et LE DERNIER REMPART (2013) avec Schwarzy. il joue un des habitants du New York apocalyptique de NEW YORK 1997 (1981) de John Carpenter, qui aide Kurt Russell dans sa mission : retrouver le Président kidnappé par des bandits. Il venait de jouer dans FRANK AND AVA, biopic sur l’histoire d’amour entre Sinatra et Ava Gardner

Westerns. Il a tourné dès ses débuts dans de nombreux westerns dont des séries comme Zane Grey Theater,  Rawhide..Gunsmoke, Rintintin ou Bonanza, Le Virginien, Cimarron, Laramie, Le grand Chaparral, Les mystères de l’Ouest, La grande vallée, Have gun – will travel…

Et les westerns long-métrages :
Tomahawk trail
(57) ; Revolt at fort Laramie (57) ; Le fier rebelle (58) ; Violence au Kansas (1959)  ; il joue le membre d’un gang dirigé par Eli Wallach préparant le vol d’une cargaison d’or dans La conquête de l’Ouest (62) ; L’Ouragan de la vengeance (66) ; Un nommé Kiowa Jones (66 ;  La poursuite des tuniques bleues (67) ; Le jour des Apaches (1968) ; The intruders (70 ; L’Apache (1972) ; Pat Garrett et Billy le kid (73) ; Zandy’s Bride (1974) ; Rancho DeLuxe (1975) ; Missouri breaks (76) ; Rango (voix

Autres films :LE PARRAIN II (1974) de FF Coppola
ADIEU MA JOLIE (1975) de Dick Richards
NEW YORK 1997 (1981) de John Carpenter

MISSOURI BREAKS : Harry Dean Stanton (à droite) avec Jack Nicholson

Harry Dean Stanton, Geoffrey Lewis DILLINGER (1973)

Harry L’Ouragan de la Vengeance


Le jour des Apaches/Day of the evil gun/Totem
De Jerry Thorpe (1967-68)

Un père de famille, Warfield (Glenn Ford), de retour dans son foyer après trois années d’absence, par avec son voisin Forbes (Arthur Kennedy) à la recherche des Apaches qui ont enlevé sa femme et ses deux enfants

Et Dean Jagger, John Anderson, Paul Fix, Nico Minardos, Harry Dean Stanton, Pilar Pellicer, Parley Baer, Royal Dano, Ross Elliott, Barbara Babcock, James Griffith, R.G. Armstrong, José Chavez, Lee J. Cobb

Sur le thème ‘captives des Indiens’ (La prisonnière du désert, La bataille de la vallée du diable…), un western MGM signé Jerry Thorpe (fils de Richard) filmé dans les magnifiques paysages de Durango, qui compte des moments épiques et du suspense comme la bataille avec les Apaches dans une ville mormon fantôme. Un western tourné au moment où le genre agonisait aux USA et amorçait une renaissance en Europe

L’Apache (Apache Massacre) (Cry for me Billy) (Face to the wind)
De William A. Graham (1972)

Un jeune chasseur de primes (Cliff Potts) tombe amoureux d’une belle Apache (Maria Potts/Xochitl) ; violée par des soldats, elle se suicide, il va la venger…

Et avec Harry Dean Stanton, Don Wildbands, Woodrow Chambliss, James Gammon

Dans le sillon creusé par Le soldat bleu, ce western montre, avec la même noirceur et le même pessimisme, l’horreur des massacres d’Indiens et comporte des scènes spectaculaires et violentes. Passé inaperçu à sa sortie en France en 1976, la même année que Une fille nommé Apache, au sujet similaire

La jeune Apache est jouée par Maria Potts, dont le nom à l’écran est Xochitl, un mot aztèque qui signifie ‘fleur’, qui servait à cacher qu’elle était la femme de Cliff Potts
Un brin d’érotisme, durant une des scènes où elle monte nue son cheval, elle fit une chute, et ses douleurs sont visibles et bien réelles dans les séquences filmées après cette chute



  


Alien – Le 8ème passager (Alien)Anglo-américain de Ridley Scott (1979)

Le vaisseau Nostromo reçoit un appel de détresse d’une planète inexplorée. Ils recherchent les survivants et découvrent une présence extraterrestre

Avec Sigourney Weaver, Tom Skerritt, John Hurt, Veronica Cartwright, Harry Dean Stanton, Ian Holm, Yaphet Kotto

cinerevue 1979

Fascinant huis-clos de science fiction au suspense oppressant, avec la fameuse créature visqueuse créée par le Suisse R.G. Giger, et le slogan devenu célèbre : « Dans l’espace, personne ne vous entend crier », le tout bercé par la musique de Mozart. Sera suivi de ALIENS – LE RETOUR (1986), ALIEN 3 (1992) -le plus abouti-, ALIEN, LA RESURRECTION (1997).

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *