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Bud Spencer/La horde des salopards/On m’appelle Malabar=Occhio alla Penna/Petit papa baston

Posted by on 4 juillet 2016

Bud Spencer (1929/2016)

L’Italien Carlo Pedersoli est une des plus grandes vedettes de western-spaghetti et de comédies italiennes, au départ dans des tandems savoureux avec Terence Hill, où il joue les colosses patauds et bagarreurs donnant des coups de poings verticaux entrés dans la légende. Lui et Hill firent au total 16 films ensemble…

Il nait à Naples. Bon nageur et excellent étudiant, Carlo suit sa famille à Rio de Janeiro où il fait des petits boulots, puis retour à Rome, débute à Cinecitta dans des péplums, remarqué par sa carrure d’athlète. Il a déjà 38 ans quand il tourne son premier western, Dieu pardonne, moi pas (67) avec Terence Hill. Il décide comme ce dernier de changer de nom en hommage à Spencer Tracy et à la bière Bud
C’est un des as de la gâchette que recrute Brett Halsey pour se venger du meurtrier de sa femme dans 5 gâchettes d’or (1968). Puis c’est Pas de pitié pour les salopards (1968), où on le découvre sans sa fameuse barbe, et :

On l’appelle Trinita

Les quatre de l’Ave Maria (1968)
Cinq hommes armés (1969)
Griffe pour griffe (1969)
On l’appelle Trinita (1970)
On continue à l’appeler Trinita (1971)
Amigo !… Mon Colt a deux mots à te dire (1972)
La horde des salopards (1972)
On m’appelle Malabar (1981)
Petit papa baston (1994)

Giallo : QUATRE MOUCHES DE VELOURS GRIS

Bud Spencer/Terence Hill. Les deux noms sont indissociablement liés. Depuis 1967, date de leur première collaboration, DIEU PARDONNE, PAS MOI ! jusqu’à 1994 avec PETIT PAPA BASTON, deux westerns, les deux copains ont joué dans 18 films sous la direction d’ E.B. Clucher, Sergio Corbucci, Franco Rossi

avec Jack Palance

Aux élections régionales de 2006, Bud Spencer s’était présenté dans le Latium, la région de Rome, sous l’étiquette du parti de Berlusconi.

Carlo Pedersoli

La horde des salopards
(Une raison pour vivre, une raison pour mourir) -italo-franco-allemand de Tonino Valerii  (1972)

Avec James Coburn, Telly Savalas, Bud Spencer, Georges Géret, Ugo Fangareggi, Benito Stefanelli, Carla Mancini

Western européen avec un casting haut de gamme, la musique toujours entrainante de Riz Ortolani et un scénario d’Ernesto Gastaldi, sur le thème des mercenaires -une poignée d’hommes condamnés mènent une mission à haut risque-, influencé par la Horde sauvage de Peckinpah et LES DOUZE SALOPARDS. Tous les ingrédients étaient donc réunis pour en faire un bon film, mais le résultat est décevant. Sur le thème des criminels devenus mercenaires en mission, La poursuite sauvage, le même année (avec William Holden), est nettement plus réussi. Pas toujours facile d’égaler les Américains sur leur terrain de prédilection : le western. Même avec un bon réalisateur comme Tonino Valerii aux manettes

On m’appelle Malabar (Occhio alla Penna)
Italien de Michele Lupo (1981)

Musique d’Ennio Morricone.

Girolamo, un jeune indien et son ami Malabar volent une cassette qui renfermerait un trésor. Dans la cassette se trouvent en réalité des instruments médicaux. Ils sont pris pour des médecins et  deviennent des soigneurs réputés

Avec Bud Spencer, Amidou, Carlo Reali, Lina Franchi

Pour qui aime les westerns qui ne se prennent pas une seconde au sérieux, l’humour du très robuste et très décontracté Bud Spencer -moins efficace seul que dans ses tandems avec Terence Hill-, et celui de son partenaire Amidou, alors voilà un agréable divertissement, mais c’est parfois un peu poussif. Les fans de westerns reconnaîtront les paysages d’Almeria et la maison de Claudia Cardinale dans Il était une fois dans l’Ouest : c’est celle où se cache le personnage joué par Spencer au début du film.


Petit papa baston (Botte di natale) (troublemakers) (1994) italo-germano-américain de Terence Hill

Avec Bud Spencer, Terence Hill, Boots Sutherland, Ruth Buzzi, Neil Summers

Deux frères qui se détestent vont passer Noël chez leur mère. Elle essaie de les rabibocher

Hill dirige son compère Bud Spencer, 25 ans après leurs premières collaborations. C’est un film pour Noël et comme il se doit orchestré en famille : écrit par le fils de Terence, Jess et produit par le fils de Bud. Pure parodie des TRINITA, le clou du film est sa bagarre finale qui dure près de dix mn. Les fans du tandem burlesque impérissable ne sont pas déçus

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