Macdonald Carey (15-3-1913/21-3-1994)
MacDonald Carey a été une vedette renommée des westerns de série B dans les années 40 et 50, moins connu en France que les Alan Ladd ou John Payne, et surnommé outre Atlantique, à l’époque, « The king of the B’s » (Le roi des séries B), même s’il n’en a pas tourné énormément, comme d’autres, et dans les films plus importants, il avait en général des seconds rôles.
Il était très bon dans le western psychologique L’Inconnu du ranch en 1956, dans le rôle du pasteur qui tente de remettre le bandit Skip Homeier dans le droit chemin (mais celui-ci est séduit par la jeune femme du pasteur)… et de même dans l’un de ses premiers westerns, La chevauchée de l’honneur en 1949 : un gang de bandits se dissout, deux d’entre eux s’engagent dans les Texas rangers (William Bendix et William Holden), ils vont devoir arrêter leur ex-complice resté sur le mauvais chemin (Carey).
Parmi ses autres westerns : Sur le territoire des Comanches (50), il est Jim Bowie, qui tente, avec Maureen O’Hara, de maintenir une paix fragile entre Comanches et colons…
Terre damnée (1950) avec Hedy Lamarr…
La caverne des hors-la-loi (1951) de William Castle
Les rebelles du Missouri (1951) : les « exploits » de Jesse et Frank James.
Hannah Lee : An american primitive (1953) de Lee Garmes, John Ireland
Calibre 44 en 1958.
Broken sabre (1965), montage de 3 épisodes du Proscrit.
il fit partie des nombreuses stars qui apparurent dans le téléfilm The rebels en 1979
Séries : Zane Grey Theater, Rawhide... La grande caravane…
Autres films :AMERICAN GIGOLO (1980)
La chevauchée de l’honneur de Leslie Fenton (1949)
Un gang de bandits se dissout, deux d’entre eux s’engagent dans les Texas rangers (William Bendix et William Holden), et vont devoir arrêter leur ex-complice resté du mauvais côté de la loi (Macdonald Carey)…
Et avec aussi :
Mona Freeman, Clem Bevans, Ray Teal, Alfonso Bedoya, James Bell, Hank Bell, Bob Burns, Julian Rivero, Hank Worden…
La légion des damnés (1936) de King Vidor fut un succès de la Paramount. Elle décida d’en tourner un remake en 1948, qui se révélera bien meilleur que l’original, le scénario est celui de King Vidor. C’est le 5e western de William Holden -sur les douze qu’il a tournés-, et aussi de Macdonald Carey, qui était surnommé à Hollywood, le « roi des séries B ». Plus talentueux et charismatique, Holden le dépassera quelques années plus tard en terme de popularité…