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Les quatre fils de Katie Elder=The sons of Katie Elder/Martha Hyer/Battle of Rogue river

Posted by on 16 octobre 2013

Les quatre fils de Katie Elder (The sons of Katie Elder)-De Henry Hathaway (1965)

Dean Martin (Les quatre fils de katie elderScénario : William H. Wright, Allan Weiss, Harry Essex, d’après une histoire de Talbot Jennings

Photo : Lucien Ballard
Musique : Elmer Bernstein

les quatre fils de katie elder .john wayne.dean martin.earl hollimanAvec
John  Wayne : John Elder
Dean Martin : Tom Elder
Earl Holliman : Matt Elder
Martha Hyer : Mary Gordon
Michael Anderson Jr. : Bud Elder
Jeremy Slate : sheriff Lata
Paul Fix : le shérif
Et George Kennedy, Dennis Hopper, Karl Swenson, John Doucette, James Westerfield, Rodolfo Acosta, John Qualen, Strother Martin

Les quatre frère Elder enterrent leur mère Katie. John, l’aîné, a un peu la fonction de patriarche, Tom est un joueur invétéré, Matt est taciturne, et Bud le plus fougueux. Les quatre hommes veulent enquêter sur la mort mystérieuse de leur père, la nuit où il avait joué son ranch aux cartes avec le maire de la ville, Hastings. Connaissant la réputation des frères, le shérif leur demande de ne pas créer d’ennuis. Il est la première victime d’un premier règlement de comptes entre Hastings et les quatre frères. Ceux-ci sont accusés du meurtre du shérif et arrêtés par son adjoint

Les quatre fils de Katie Elder

Rares sont les films d’Henry Hathaway qui ne soient pas réussis et captivants, c’est le cas de cet excellent divertissement qui fut un succès commercial, John Wayne était encore, à 58 ans, une vedette très rentable, comme le prouvera encore son Cent dollars pour un shérif en 1969… autre western d’Hathaway. Superbe musique d’Elmer Bernstein, qui rappelle parfois celle des Sept mercenaires
Tourné près de Durango au Mexique où John Wayne possédait des terres. L’acteur retrouve Dean Martin, son compère de Rio Bravo (1958)

Lorsqu’il tourne ce western, Wayne venait de remporter son combat contre le cancer, il mettra sa popularité au service des campagnes contre cette maladie, notamment celles de l’American cancer society
Le premier rôle féminin est tenu par Martha Hyer, décédée en 2014, elle joua dans 20 westerns, surtout des séries B

Cinémonde 1965


Martha Hyer (1924/2014)

Son rôle le plus célèbre fut celui de Gwen French dans COMME UN TORRENT en 1958 qui lui valut une nomination à l’Oscar du meilleur second rôle, elle donnait la réplique à Jock Mahoney dans le western Les dernières heures d’un bandit en 1956. Elle joua dans de nombreux autres westerns, essentiellement des séries B :

Gun Smugglers (1948) de Frank McDonald
Rustlers (1949) de Lesley Selander
Rougshod (1949) de Mark Robson
The lone ranger (série) 1950
Outcasts of Black Mesa (1950) de Ray Nazarro
Salt Lake raiders (1950) de Fred C. Bannon
Frisco Tornado (1950) de R.G. Springsteen

The Kangaroo Kid (1950)
Adventures of Wild Bill Hickok (1952) Série
Wild Stallion (952) de Lewis D. Collins
Yukon Gold (1952)
Battle of rogue river (1954)
Wyoming Renegades (1954) de Fred F. Sears
El Tigre (1955) de Hoseph Newman
Crépuscule sanglant (1956)
Once upon a horse (1958)
Rawhide (série) 1959-The Deputy (série) (1959)-Zane Grey Theater
La flèche sanglante (64) de Sidney Salkow
Les quatre fils de Katie Elder (1965) d’henry Hathaway
Le ranch maudit (1966) de Joseph Pevney-Le Virginien (1970) Série

Martha Hyer

Battle of Rogue river
de William Castle (1954)

Un Major de l’armée reçoit une mission de pacification auprès des Indiens, mais certains, qui ne veulent pas que l’Oregon devienne un Etat, vont tout faire pour attiser la haine des Indiens

Avec George Montgomery, Richard Denning, Martha Hyer, John Crawford, Emory Parnell, Michael Granger, Freeman Morse, Victor Adamson, Willis Bouchey, Kathleen Freeman

L’année 1954 fut aux Etats-Unis celle où furent tournés le plus de westerns, dont cette série B qui évoque le « problème » indien : expression étrange qui montre que pour les colons de l’époque les Indiens constituaient un véritable problème… pour la possession de leurs territoires ! Moins manichéen que d’autres, ce western ne les montre pas systématiquement menaçants et belliqueux, mais ils n’ont hélas rien d’authentique

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