La maîtresse de fer (The iron mistress)
de Gordon Douglas (1952)
Et Joseph Calleia, Phyllis Kirk, Alf Kjellin, Douglas Dick, Argentina Brunetti
Une peinture intéressante de la Louisiane du XIXe s., pour ce récit relatant la vie de l’aventurier Jim Bowie, mais qui prend des libertés avec la vérité historique. De l’action, du romantisme dans un film sans temps mort, Alan Ladd est en bonne forme et incarne parfaitement le héros, qui aura les traits de Richard Widmark dans Alamo de John Wayne en 1960, Jim Bowie fit partie des guerriers au sort tragique du siège d’Alamo
Le film fut un petit succès
Joseph Calleia (Joe Calleia) (1897/1975)
Ce chanteur né à Malte (Giuseppe Maria Spurrin-Calleja) est devenu au cinéma un bon second -voire troisième couteau- des années 30 jusqu’au début des années 60.
On se souvient de El Sordo dans POUR QUI SONNE LE GLAS en 1942, du chef des gitans qu’il incarnait dans HOT BLOOD ou encore du papa d’Anna Magnani, le vieil immigré de WILD IS THE WIND.
Quelques westerns également à son actif, dont certains avec Alan Ladd et Robin Hood of El Dorado (1936), dont il co-écrivit le scénario avec William Wellman, et aussi des séries (Have gun – will travel, Zorro…)
Autres westerns :
Arizona Bill (1937), Juarez (39), Mon petit poussin chéri (1940), Wyoming (1940), Four faces West (1948), The Palomino (1950), Marqué au fer (1950), La maîtresse de fer (1952), Le trésor de Pancho Villa (1955), Lueur dans la forêt (1958), Alamo (1960)
Polar : LA SOIF DU MAL (1958)

avec Jackie Cooper dans TOUGH GUY (1936)