Cecil B. DeMille (Cecil B. De Mille) (1881-1959)
« Donnez-moi deux pages de la Bible et je vous fais un film » disait DeMille, le célèbre réalisateur des DIX COMMANDEMENTS et de SAMSON ET DALILA.
Cecil B DeMille joua aussi et réalisa un certain nombre de westerns.
♣ acteur :
The squaw man (1914) Les tuniques écarlates (1939) (narrateur)
Le fils de Visage Pâle (1952)
♣ réalisateur :
The squaw man (1914) Un coeur en exil (1918) The call of the North (1914) The Virginian (1914) Rose of the Rancho (1914) The girl of the Golden West (1915) Chimmie Fadden out West (1915) Les conquérants (1917) Le mari de l’Indienne (1931)

The plainsman by DIDGIV

Une aventure de Buffalo Bill (1936)
Les tuniques écarlates (1939)
Pacific express (1939)
Les conquérants d’un Nouveau Monde (1939)
Rudolph Maté
Réalisateur des westerns :
Marqué au fer (1950), Le gentilhomme de la Louisiane (53), Siege at red river (54), Le souffle de la violence (55), Horizons lointains (55), Les années sauvages (55), Terre sans pardon (56)
Directeur de la photo de La belle ensorceleuse (1941)
Nicholas Ray (1911-1979)
Mort le 16 juin 1979 -5 jours après John Wayne-, de descendance allemande et norvégienne, Nicholas Ray est un acteur, scénariste, et réalisateur américain, il joua notamment dans LA FUREUR DE VIVRE, LES 55 JOURS DE PEKIN, HAIR. Comme cinéaste, une de ses œuvres les plus personnelles, et l’une des plus abouties aussi est sans doute le western Johny Guitare, en 1954, qu’il réalisa, produisit et dont il écrivit le scénario.
On lui doit des classiques du film policier comme LE VIOLENT (1950) avec Humphrey Bogart, de guerre (LES DIABLES DE GUADALCANAL, AMERE VICTOIRE), des épopées historiques (LES 55 JOURS DE PEKIN, LE ROI DES ROIS) un film sur le rodéo : Les indomptables (1952) avec Susan Hayward et Robert Mitchum. Deux autres westerns à son actif : A l’ombre des potences, avec James Cagney, en 55, et le très réussi Jesse James, le brigand bien-aimé (1957) avec Robert Wagner
Le grand chef d’œuvre de sa vie demeure LA FUREUR DE VIVRE, qui fit de James Dean dans les fifties l’icône sacrée des teenagers américains et offrit à Natalie Wood un de ses plus beaux rôles au cinéma